On sent la lumière du jour qui s'en va . Lentement la vision s'efface et l'on reste le cœur battant derrière le filet de silence qui retient le temps d'avant. Une ombre oblique recouvre l'absence , une cloche égrène une langue d'oubli remuant quelques bribes de vie. On reste, le froid au bout des doigts, à chercher ce presque rien que personne ne voit.
7 commentaires:
perfection
L'essentiel.
magnifique
merci
un presque tout
dans presque rien
c'est de toute beauté, les images et les mots !
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