La terre touchée par la lumière se fait miroir. Quelque chose prend forme qu’on écoute s’articuler. L’œil fouille ce qu’il reste d’obscur.
On dirait qu’il y a deux lumières : celle d’en-haut et celle d’en-bas. Et qu’il faille traduire ce qu’elles ont à nous révéler. Au fond de la forêt l’ombre de ce qui ne peut se dire.
Se tenir dans l’instant, celui de l’imperceptible qui s’insinue dans les méandres indistincts des jours qui passent. Une respiration dans ce berceau de sensations au sein des masses d’arbres. Se nourrir des murmures qui s’élèvent.
Magnifique ! Cette présence à l'instant, cette respiration ...
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