Au faîte d'un étouffant silencela montagne de fendd'une combed'une douleur, d'un blanc,d'un espace inomméoù inscrire ses lèvres,où coller sa bouche,où aspirer tout l'air des générations déchues.D'un souffle alorsrendre son horizon à la terre.Jean-Claude Izzo (l'aridité des jours)
"rendre son horizon à la terre" me parle bien! Je n'ai rien lu de jean -Claude Izzo; encore quelqu'un à découvrir ,merci!
Au faîte d'un étouffant silence
RépondreSupprimerla montagne de fend
d'une combe
d'une douleur, d'un blanc,
d'un espace inommé
où inscrire ses lèvres,
où coller sa bouche,
où aspirer
tout l'air des générations déchues.
D'un souffle alors
rendre son horizon à la terre.
Jean-Claude Izzo (l'aridité des jours)
"rendre son horizon à la terre" me parle bien! Je n'ai rien lu de jean -Claude Izzo; encore quelqu'un à découvrir ,merci!
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