jeudi 22 novembre 2012
Triptyque 8
Un chant de nuit hante les ruines de l'eau.
C'est l'automne qui psalmodie ses dernières not
es.
Tout se déchire.
Cela tremble un peu comme un impossible frisson.
Les derniers cris d'un grain de cri
stal.
Tout s'épure sur la paume de l'eau.
Un essaim de lumière desserre l'étau des ombres
.Le chagrin en dérive glisse vers les rebords. Tout chuchote des mots doux et bleus .
2 commentaires:
Lìn
22 novembre 2012 à 17:03
comme un fragment de rêve
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Neo
22 novembre 2012 à 23:45
des mots d'hiver
des mots frisson
au coin du feu
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comme un fragment de rêve
RépondreSupprimerdes mots d'hiver
RépondreSupprimerdes mots frisson
au coin du feu