J'avance, avec de l'ombre sur les épaules.( André Du Bouchet)
vendredi 12 septembre 2014
les yeux assoiffés
sans penser rien et regarder devant , à ne fixer que l'étendue , et l'écrivant voir encore ce qu'il a été donné d'être. il y a une sorte de naïveté qui ferait oublier la violence qui se décline en tous sens dans le monde. sans penser rien, rester.
Ce sont exactement les images et les mots que j'avais en tête en lisant "Le héron de Guernica" de A Choplin, cette sorte de naïveté du peintre guettant le héron et l'oubli de la violence alors que se déchaîne la guerre
2 commentaires:
merci pour cette beauté qui s'éveille
Ce sont exactement les images et les mots que j'avais en tête en lisant "Le héron de Guernica" de A Choplin, cette sorte de naïveté du peintre guettant le héron et l'oubli de la violence alors que se déchaîne la guerre
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