dans
l'acte même du départ, ressentir le manque, laisser le vide
s'installer , creuser sa tanière, se laisser glisser sur la pente
des heures ne retenant rien , puis noter dans la bouche le passage
des verbes à l'imparfait pour parler d'elle après le couperet, se
tenir debout pour l' adieu où le passé étale de grandes plaques de
lumière, se glisse même dans l'intensité d'un regard oublié,
frapper du pied du fond où l'on se sent happé et revenir à la vie
dans un bouquet d'œillets
extractions et remodelage de notes de la semaine du 27/12 au 2/01
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