c'est une corde qui encore me happe, s'enroule autour de mes chevilles et me traine vers le bleu d'une vie à venise. l'eau des canaux détricote l'écheveau des pensées et brode un canevas où le lyrisme guette. dans le quartier du castello je marche dans la marge et sur la peau de marbre, plus loin j'écris sur les murs des cloîtres.
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