J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)
entre
près de la fenêtre
entre le dehors
et le dedans
on voudrait passer
la lisière
à pas légers
mais on attend
le jour qui se déploie
au bord des toits
et déja
l'aube du soir
serrée entre les doigts
4 commentaires:
Ces fenêtres chargées d'histoire, et d'autant de vies, ouvertes vers l'horizon ou vers le ciel, comme pour sublimer l'ailleurs... C'est étrange comme elles ont l'air de n'être plus là que pour nous murmurer dans l'âme qu'il faut continuer...
Comment voir le bleu du ciel s'il n'y avait un cadre pour le délimiter...
...continuer à regarder le bleu coûte que coûte...
Parfait le jeu des assonances. Suomii
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