JE N'AI RIEN SAUVÉ en pensant. On reste jusqu'à la fin ignorant de la page entière de son silence. On reste au chœur muet de la pleine page du silence de la voix en un prodigieux poème obscur pour soi-même.
L'écriture semble naître sur la paroi interne du soufle, médium et mystère. C'est le rythme évadé dans l'irrémissible première fois d'un vécu ensemble.
Un bouquet de fleurs, un fruit, le prouvent
quand on les goûte pour ce qu'ils sont,
des bienfaits sans pareils
Patrick Laupin "Ravins" (Editions la rumeur libre 2013)
1 commentaire:
Comme on mange un fruit
chaque jour un peu de poésie...
amicalement
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