alors que cessent les chants d'oiseaux et que, lapidé de silence entre la chair et l'ombre de ce qui est, on glisse dans cet interstice où se murmure l'épaisseur d'une vie. on ne sait plus ce qui, du corps enténébré ou de la peinture où l'on pénètre est la réalité. d'une main somnambule on effleure la peau du temps passé.
Photos de peintures de Paul Rebeyrolle à Eymoutiers
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