quelque chose sans cesse remonte des abîmes, déchire le voile de ce qui fut et abandonne un feuillage d'images et de pensées à l'ombre longue. égaré sur la lisière grise du jour, il faut passer le gué de l'indifférence , plonger ses doigts dans ce souffle tremblant et se glisser dans l'entrelacs du don de l'aube où se creuse une attente. écrire pour rejoindre ce qui n'a pas commencé à parler.
2 commentaires:
tes mots sont lumière
tes images sont poésie
Sublime.
Enregistrer un commentaire