dans le jardin d'images, sous la lumière d'un double infini, se déploie un souffle, père d'espace. dire l'au-delà de ces bouts de réels révélés, de ces traces de temps cachées sous un bruissement continu, jusqu'à l'inaudible. heureux alors est-il de marcher dans l'axe de l'écriture, de respirer l'air de cette lumière et de rejoindre l'autre dans le jour.
4 commentaires:
un abîme de commencement...
une lumière, un reflet, juste un souffle et des mots pour le dire
OOOOOh !!!
si beau
une genèse
A la moitié de dur, de roc, d'inébranlable, l'autre en reflet liquide, insaisissable, qui reparaît chaque fois que les remous s'apaisent, dans une parfaite symétrie : comme de tout ce que nous croyons être, et de tout ce que nous sommes vraiment au fond, ces deux lobes de la même châtaigne...
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