nul manteau de safran pour recouvrir leur chair creusée, nulle draperie de soie et de brocards pour dissimuler les traces du temps, mais la mise à nu de la part d'éternité. entre présence et absence programmée, une obstination à dire l'intériorité de tout vivant et dévoiler l'écorché vif qui nous ressemble. et se tenir là, dans cet écartèlement, quand la langue se tait.
Les photos ont été prises à l'exposition "Errances" du sculpteur Marc PETIT à Issoire (63) que l'on peut découvrir jusqu'au 13 septembre. Intense.
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