on suit le bruit des ailes sous la trame d'un ciel qui délivre les paupières où tremble un peu de nuit. on s'accroche aux quatre coins du tapis céleste et résonnent les pas du vent et les noms évaporés. tout devient informe et d'écume quand le souffle se retire.
2 commentaires:
Quand donc vas-tu te décider à contacter une maison d'édition pour faire paraître tous ces merveilleux textes. Quel dommage qu'ils ne soient pas couchés sur le papier à la portée de chacun
les ailes du jour feuillu
percent la nuit des arbres
que berce le chant du vent
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