Sur
la carte d'une vie qui semble
se dessiner, s'érigent des morceaux de réels ou que l'on a pensé
tels, de longs tunnels d'ombres ou de vies somnambules, avec par
à-coups de grandes bouffées d'air et de lumière qui
s'épousent,
puis se fuient.
Comme un verso de soi à la recherche d'un reflet et qui, peut-être,
en ombre portée, dessine un invisible au travers des averses. Traces
presque préhistoriques que l'on cherche à reconnaître,
à déchiffrer les signes oubliés et à recueillir les éléments
fragiles à manier avec précaution. Du peu, du presque rien à ne pas laisser se perdre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire