dans l'opalescente eau et la pâleur de la pierre, se dessine, en une tendresse balbutiante, un bonheur éphémère gravé dans un froissement de lumière. sur le seuil de l'image, on use son regard à pressentir l'invisible et on cherche à franchir le fossé qui sépare de la parole. puis, à la lumière défaite, on écoute dans sa voix les murmures incrustés.
1 commentaire:
Oh !
tout est si
beau
là
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