surpris
par ce frémissement
tout près, quand ne
reste que le flou de ce qui
s’abandonne à
toutes les
incertitudes. se laisser porter par le rêve flottant , habiter ce
seuil du regard, suspendu à ce vertige de l'infiguré. apparition
puis disparition des mots qui pourraient se poser mais ne font que
flotter à la croisée d'un dedans et d'un dehors, petites
naissances, promesses du brouillon d’un possible, images vagues
d’idées incertaines. entrer dans ce qui, au bord des yeux, bouge
un peu, à la lisière
de ce qui est, ou pas,
ce rien qui traverse
le regard jusqu’à l’oubli.
1 commentaire:
quel texte merveilleux ! j'adore
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