Le trop plein de pensées serrées entre les mailles du cerveau, dont on voudrait alléger le poids. Et l’invisible perdu au sein de ce lacis. Vouloir aller à sa rencontre.
Où peut-être se trouve la lumière égale, paisible d’une aube. Dans une harmonie rayonnante. Et de ses ombres aussi sans lesquelles elle ne serait pas.
Se tenir à distance juste et suffisante afin de garder un équilibre. Ne rien brusquer. Espérer.
1 commentaire:
Oui, c'est exactement ça
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