J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

jeudi 21 mai 2009

devant



il y eut une ligne droite
et les voix perdues
des matins d'antan

ne pas se retourner
marcher droit devant
jusqu'à repousser l'horizon

2 commentaires:

Azalaïs a dit…

c'est souvent ce que je me dis lorsque je suis en randonnée, dans ces moments là, rien ne compte que la route et l'horizon!
bises

Anonyme a dit…

c'est vrai...avancer...il le faut...pas le choix...parfois on voit le chemin devant soi et d'autres fois il devient sinueux, on ne sait plus où l'on va...mais se retourner ne sert à rien..."la nostalgie c'est comme l'opium, ça intoxique..." nous poursuivrons notre chemin jusqu'au bout...sans savoir d'avance vers où et combien de temps. Denise