Des nuits à désherber les ombres, tiges pointues prêtes à rompre sur les sentiers battus et rebattus du passé. Des jours à délivrer les couleurs, farder les mots, maquiller la glèbe en parterre fleuri. Un diptyque d'entraves entre le cloître en ruine et les étendues saturées de ciel. S'insinuer dans la faille laissée au crépuscule du matin et, en frappant des mains, sauter à pieds joints dans une flaque.
2 commentaires:
Rire, Tu m'as eue !
Il suffit juste de demander...!
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