Les lendemains lunaires, où l'on erre dans un halo plein de pollens que l'on implore, afin d'être pris comme passager dans leur vagabondage aérien, pour naviguer, encore et encore, entre les langues et les eaux, lestées de peintures éphémères. On tisse sous les soupirs, une étoffe de songes où se brode au fil sang le cordon qui relie à la mère. Ce qui niche dans le silence, au seuil des mots, et qui étreint comme une crue.
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