J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)
Triptyque 3
L'eau n'était pas morte. Elle souriait des échos des grands rires enfouis par éclats.
A la surface, froissés, les vents de l'éphémère dessinaient les voiles d'aube , celle au seuil de l'hiver.
Au réveil, on entendait battre le sang du rêve, et dans les plis de l'eau brûlaient des bouts de ciel.
1 commentaire:
Ici et là que tout cela est beau
beau... beau, que tout cela est beau
Enregistrer un commentaire