La sève évanescente, les feuilles jaunies se délitent avalées par la nacelle de l'eau.
Il y a là tatoué un funambule qui épouse les courbes du silence et se laisse divaguer sur un berceau de velours.
Veille encore au cœur des heures sur ce qui se consume dans le secret: l'ouverture du ciel, l'enivrement du souffle et l'étreinte de l'horizon et des ombres.
3 commentaires:
On voit très bien le funambule !
et tout en légèreté !
comme l'air de l'eau
veille encore au cœur des heures sur ce qui se consume dans le secret.
merci pour cette méditation...respiration...
Denise
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