sur la partition du jardin suspendu
le poème balbutie ses couleurs sous
la haute tension de ce blanc à lire
le solfège intime de l'oiseau jaune
c'est le silence ce bleu de la lyre
qui se risque espère puis s'éloigne
résonne en pas perdus effleure même
la peau épure l'archipel des songes
pèse épuise et déconcerte la langue
3 commentaires:
plaisir quotidien de vos billets que je ne commente pas - absorbe mais rien ne vient en retour, pardon
Je suis touchée que cela vous plaise! Merci pour vos lectures fidèles.
J'ai entendu ce matin
la tourterelle
serait ce l'annonce
d'un désir de printemps
malgré la neige
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