je marche sur la poussière blanche du jardin
du luxembourg avec la joie enfantine presque
ridicule de qui monte à paris avec le regard
neuf à chaque carrefour.je marche auprès des
ombres pour voir ce qui prend naissance dans
cette source secrète,dans ces recoins vagues
où tout s'épouse soudain entre feuillages et
pierres, chair et eau.je marche pour habiter
le doute caché là jusqu'à la ligne d'horizon
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