J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

lundi 12 août 2013

effluve

incertain

entre le cœur et l'os

         un poème

qui ne demande rien

c'est l'heure pour lui de se faire antre

pendant que vente sur la ville

un grand éclat de rire 

 Cette rubrique Détourtweets comme une deuxième vie pour des messages récoltés çà et là... (merci au compte tweeter de Brigetoun !)

1 commentaire:

Patrick Lucas a dit…

comme de mots
creux il était
cela ne lui fit
ni chaud
ni froid