que s'ouvrent les tentures sur la vie intérieure
que s'écartent les heures dans l'embrasure du temps
que se déplissent blanches les brumes de naissance
que s'enjambent les seuils des ombres amassées
que se lèvent les vents sous le dessein des mots
que se creusent les cris entre les lèvres closes
La photo centrale est celle d'une sculpture d'Evelyne Galinski
5 commentaires:
Merci pour cette magnifique prière ...
... que s'entendent ceux qui ne s'écoutent plus
Que se retrouvent enfin ceux que le vent égare...
...que se multiplient les faiseurs de paix
Le morts savent cela, qui continuent le voyage bien après que nous leur ayont fermé les yeux.
Roger
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