J'avance, avec de l'ombre sur les épaules.( André Du Bouchet)
mardi 12 novembre 2013
grelot de l'eau
l'oeil rassemble les enseignes de l'eau et dévoile des écritures qui dansent puis se délitent sous les doigts du vent la ritournelle s'évapore les yeux entrent en silence
2 commentaires:
"l'eau, telle une peau
Que nul ne peut blesser"
Paul Eluard
hmmm
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