J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

jeudi 14 août 2014

étoffe du poème


 dénicher la lumière au creux de la parenthèse où elle se perd, là où les songes s'épousent quand la phrase prend forme. écouter bruire le paradis, ce poème des silences où les voix se détachent en de multiples étoiles  . s'égarer dans la bulle de la langue et chavirer.

3 commentaires:

mémoire du silence a dit…

Sublime.

Marty a dit…

les voix du silence font chavirer !
magnifique

Patrick Lucas a dit…

absolument magnifique