de
ce jour, ne revient que le voile hésitant du regard divaguant sur la
verrière limpide où chacun médite ou se brûle aux étincelles de
pensées qui jaillissent, irisées et illusoires, quelque chose entre
myriade d'éclats d'une sorte de bonheur et flaques d'ombres toujours
plus denses, on voudrait pouvoir dire mais il est plus simple de
regarder, photographier cet infime et se perdre dans ce bouquet
coloré vacillant comme l'effervescence d'une vie à cueillir avant
l'amnésie, on en revient égaré murmurant Burano, Torcello pour les
rendre réels
extraction et remodelage de notes du 21 avril
2 commentaires:
retenir les couleurs
et oublier le reste
mystérieux reflets
qui nous rend le réel
impalpable
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