J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

dimanche 19 juillet 2015

menuiser


dans la lumière du bois mort on cherche quelque message , comme si un pas de danse pouvait encore s'esquisser. on plonge dans une rêverie immobile, et  les gestes de l'enfant qui écorçait les brindilles se retrouvent en douceur , ce sont alors comme des phrases anciennes qui remontent en mémoire. une joie simple rayonne .

2 commentaires:

Marty a dit…

reviennent aussi les parfums des sous-bois
et des pommes de pin comme un baume au temps passé
bon dimanche Laura

Estourelle a dit…

ces objets qui sentent bon l'enfance!!...