sur le bord des lèvres s'agite l'impatience. ouvrir la porte aux songes qui dévalent le pré, laisser leur lumière rayonner sous le feu de l'été, écouter leur chant filtré aux herbes folles. soudain le ciel glisse et dans la marge l'enfance est là .
2 commentaires:
réminiscence
une odeur de foin frais
de roulades dans le pré
les rires de l'enfance
caracolent à l'horizon
les images sont très belles
et les mots un délice...
merci
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