à
la lumière insaisissable d'une danse sans sagesse
un
sillage de lune susurré dans un labyrinthe d'eau
champ
de sourires ou écho lointain de murmures
déplier
un
quotidien perdu
sous papier calque
des
mémoires délivrées se racontent nues
une
forme de regard sur l’essentiel posé
où
fleurit
une poésie en veine et
sève
sur
les lèvres des cavatines folles
les
ombres s’effacent fluides
une
rêverie simple se délie
un
souffle d’aube bleue
se
respire au fil d’eau
de
quoi se faire un nid
avec
la tête à l’envers
et
des pensées fortes
de
lumière et d’ombre
suspendues
perdues
époustouflées
bleues
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