passerelles de
mots, d'images où se marient des visions sur les ailes d'un matin ,
que l'on tente de fixer sur une page ou dans le cadre d'une photo
pour tenter de dire les quelques peu qui nous tiennent debout,
et ne pas oublier. solitude qui joue à nouer des liens, entre un je
et un tu , entre les couleurs subtiles de nos vies , entre les
charrois d’images aux éclairs de couteau qui n’en finissent pas
de nourrir nos regards. être ce funambule oscillant sur son fil,
semblant survoler la terre, mais ne cherchant qu’à toucher l’autre
rive.
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