un
regard se pose , s'attarde , s'attache à ce fil d'herbe et laisse
glisser les pensées au fil de l'eau , loin des rafales des jours.
des bribes de mots, presque inaudibles, pourraient se poser, mais il
n’est pas le temps du va-et-vient entre le dehors et le dedans .
laisser crépiter la lumière dans le souffle de la coulée, respirer
la douceur chaude de cet éclat saisi, garder vif l’instant où le
regard s’est laissé emporté dans cette brèche. de ces sillons de
lumière, plus tard, puiser de la langue ce qui se murmure entre
les bandes azurées.
1 commentaire:
BEAU !!!
oui
BEAU !!!
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