J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

vendredi 4 octobre 2019

une vie de plein vent

  entre le béton et la pierre
dans le bouillonnement de la ville 
nul ne vous entend crier
une expansion de soi
traverse le ciel

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'ai eu envie d'un pastiche, tant ton texte m'a touchée, ici dans le village paisible

« Entre le silence et la lumière
Dans l'éternité arrêtée
Nul ne vous entend prier
Votre chant monte
Silencieusement vers les cieux » Ange-Gabrielle