Blocs de pensées qui s’amassent, se recouvrent, s’enterrent. Fragments de soi effleurés par la lumière. À ras de terre, l’écume de ce qui pourrait.
Ce qui pourrait donner naissance en un frottement à l’envol de l’oiseau qui se tient au fond de soi. À la libération de cette effervescence que nul ne soupçonne. À la mise en lumière des revers d’ombres.
Des fenêtres s’ouvriraient les unes après les autres, arrondissant les angles du jour. Une mélodie se balbutierait. Des bulles de mots se tiendraient en suspens.
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