J'avance, avec de l'ombre sur les épaules.( André Du Bouchet)
mercredi 13 août 2008
tendresses
dans le tremblement des tendresses dérobées entre les pierres sèches et les brins d'herbe d'or ondulent les cheveux d'ange arabesques pensées qui s'effilent dans un froissement d'air
3 commentaires:
Anonyme
a dit…
Indépendamment des photos, que je connais déjà, je parcourais tes derniers textes un peu rapidement mais celui-ci m'a heurté sans que je m'y attende. Au niveau du rythme, il est très fort, presque aigu, même dissonant vers la fin. Bref, il me plait. Bravo.
3 commentaires:
Indépendamment des photos, que je connais déjà, je parcourais tes derniers textes un peu rapidement mais celui-ci m'a heurté sans que je m'y attende. Au niveau du rythme, il est très fort, presque aigu, même dissonant vers la fin. Bref, il me plait. Bravo.
je rejoins Guillaume.
ce poème est remarquable et me saisit par le bout de l'âme ...
je me tais et j'admire !
François
Merci à vous deux :); j'avais les deux premiers vers et les cheveux d'ange ont fait le reste!
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