ces visages aux voix de silence
ces ombres insaisissables
cette effervescence de petits riens
ce vertige face au vide qui se rapproche
ces étendues à traverser sans main pour te guider
ce crissement du sablier et le soir déjà
cet oubli qui guette
ce tremblement de la lumière
ces mots dans l'intervalle
ce vacillement qui emporte
ce temps perdu
ce corps qui peine déjà
ces ombres insaisissables
cette effervescence de petits riens
ce vertige face au vide qui se rapproche
ces étendues à traverser sans main pour te guider
ce crissement du sablier et le soir déjà
cet oubli qui guette
ce tremblement de la lumière
ces mots dans l'intervalle
ce vacillement qui emporte
ce temps perdu
ce corps qui peine déjà
cette trame de toi qui s'effiloche
ce souffle entre les pages
ce présent insaisissable
ce que tu veux ou ne veux pas
cette mémoire triturée
cette fissure où tu te caches
ce bleu ce bleu ce bleu
ces yeux fermés pour être
ce seuil que tu ne franchis pas
ce cri et ce silence après
ces brindilles de soi éparpillées
ce présent sans visage
ces absences qui brûlent
ce que tu perds chaque jour
ces phrases qui te hantent
ces croisements où tu hésites
ce cri dans le ventre poussé
cet écart où l'on se tient debout
cette aube où tout recommence
ce souffle entre les pages
ce présent insaisissable
ce que tu veux ou ne veux pas
cette mémoire triturée
cette fissure où tu te caches
ce bleu ce bleu ce bleu
ces yeux fermés pour être
ce seuil que tu ne franchis pas
ce cri et ce silence après
ces brindilles de soi éparpillées
ce présent sans visage
ces absences qui brûlent
ce que tu perds chaque jour
ces phrases qui te hantent
ces croisements où tu hésites
ce cri dans le ventre poussé
cet écart où l'on se tient debout
cette aube où tout recommence
3 commentaires:
Beau comme un requiem
très belle la photo qui accompagne
ou une naissance
La mémoire triturée
la chaîne encore vive
la trame effilochée
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