Les larmes, elles ont coulé, raviné ce qu'il reste de peau puis crevé dans la cage. De cette rage, c'est bien fini. Mais d'autres larmes, à cloche-coeur, ont arrosé l'herbe des mots, lavé la terre jusqu'au pli du poème, et goutte à goutte du temps, irrigué le désir. Un tapis où marcher.
2 commentaires:
les larmes qui labourent et préparent le terrain, le re-départ, la re-vision
Ah, j'aime bien la re-vision!
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