Dire le ciel inépuisable quand s'essouffle la sève qui suinte de la terre. Un ailleurs de mystère où s'inscrirait l'écho de cet entre-soi que l'on ne peut nommer. On regarde, on se laisse détremper par l'azur de paix, rassurant, presque mythique, et l'on pense soudain: le ciel est sang. Chaque matin, le regard lancé comme un caillou sur la marelle du jour, se pose sur la case ciel où il s'abreuve d'un peu d'éternité.
1 commentaire:
chaque jour un peu d'éternité
pour ne pas oublier le Tout
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