C'est comme un si loin qu'on aurait trouvé là, sur les bords de l'inaperçu. On promène un miroir sur le bas-côté du chemin, on marche dans cet interstice qu'est l'égarement où la langue s'écrit. Jusqu'au point de silence recueilli, quand une sorte de lumière intérieure, un peu floue, semble enfin fleurir.
2 commentaires:
et l'on se retrouve parfois
ainsi profondément face à soi
Et tu dis ce que l'on ne sait dire.
Merci
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