l'oeil bégaye jusqu'au fond obstinément
rouge de l'écorché une sorte de fissure
où çà bouge un peu dans le pli qui crie
peut-être qu'on imagine les craquelures
l'impossible dérive de ces bleus perdus
entre les lumières et les ombres brèves
l'oeil s'accroche à cet envers du monde
où s'enterrent les restes des riens qui
ont capitonné un temps la vie de chacun
2 commentaires:
Vos dernières pages sont d'une grande esthétique.
Bravo
Sans doute une manière de se cacher...
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