J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

mardi 28 octobre 2014

c'est peut être le chemin

nos vies sont des dunes sans fin
la poésie une sculpture invisible
là où prend source le regard

une mésange s'esquisse
dans le silence nacré
à cache-cache avec un rayon de jour

voix d'une écriture
accroc sur le cortex des anges

2 commentaires:

Marty a dit…

quelle belle écriture

Unknown a dit…

J'adore