J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

jeudi 28 janvier 2016

indifférence


 Dans l'océan du jour qui se dilue, la trame lointaine de vies fuyantes emportées par les vagues , comme des cœurs cessant de battre. A l'intérieur un silence craquelé d'inquiétudes ne cesse de résonner. Retrouver l'allant et le regard doux en un frôlement d'aile.

1 commentaire:

Marty a dit…

la nuit brasse les inquiétudes ! au petit jour la lumière
inonde les coeurs et tout peut recommencer