c’est le mot
seuil, encore et toujours, qui frappe aux tempes du jour, avec ses
lettres de solitude figées devant le i de l’imprévisible
qui nous cueille, de l’illisible que nous tentons de déchiffrer ou
encore de l’immarcescible étoile. être au seuil d’une nouvelle
année, un projet, un rêve... ou simplement d’une journée que l’on
voudrait idéale, vécue entre marche sur les chemins élus et
errance entre les pages lues et relues jusqu’à l’os. seuil de
soi aussi, sans fin, avec la singulière promesse que oui,
aujourd’hui quelque chose va s’insinuer au cœur de l’instant
et faire battre et palpiter l’intime.
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