carte
de l'imaginaire, fruit d'une lumière qui ne dévoile pas l'énigme
mais la suscite , en laissant le regard se perdre dans des
tons plus dorés, plus chauds où il ferait bon rester à rêver ,
oublier , aller, venir et changer de sens, plonger dans un au-delà sans
aucun doute illusoire, mais riche d’inconnu où le réel
s’évanouit, un peu comme on regarde par delà une fenêtre et que
l’on semble avoir vue sur l’éternité à laquelle il ne
faudrait pas toucher , simplement l’effleurer d’un iris
bleu, et juste l'ombre nécessaire pour ne pas savoir plus qu'il
ne faudrait
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