Leçon n°2. On commence par se couper soi-même de ce qu'on appelle les mots parasitaires. C'est la première étape. Ensuite, ce sera toujours plus de silence. Après les mots parasitaires il y aura l'abolition du langage extérieur et après l'abolition du langage extérieur l'abolition du langage intérieur. Il y a beaucoup de choses qui sont parasitaires dans ce qu'il y a à dire au quotidien alors il faut couper, c'est essentiel. Autrement on est plein de ces voix qui débordent.
→ celui ou celle qui théoriseGuillaume Vissac "Accident de personne" ( Othello 2018)
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