Se dire que selon la lumière qui se déploie ou se rétracte ma journée sera liée à elle. Dès le premier regard posé sur l’outre fenêtre, je sais déjà un peu si le souffle sinuera. Ai la nécessité d’un ciel tranchant bleu.
À défaut se tenir face à un tableau à l’eau limpide, un ruisseau de soleil, un champ de blé. Là où la lumière tremble et bouleverse. Et que naissent des lueurs.
Prendre vie comme une nouvelle naissance chaque matin. Avec le proche comme le lointain. Et l’horizon dans une déchirure.
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