Le jardin, dans son étrangeté, où les pensées se déposent jusqu’aux reflets, jusqu’à y sombrer. Du vert à se noyer. De la bruyère aussi pour respirer.
Une parole de l’infime se terre entre les branches, les feuillages, le lierre et les ronces. Tendre l’oreille au travers du brouhaha des mondes qui nous enserrent. L’éphémère du jardin, comme un murmure.
Une sorte de promesse peut-être. La possibilité d’un seuil où reposer un peu. Mais où sont les oiseaux...
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